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Le Clan des Vénitiens

Grâce à ce Livre noir. traversons trois millénaires d’histoire et déjouons les manipulations qui minent notre parcours !

D'Abraham à Jésus et au Suaire de Turin, de Napoléon à Hitler et Che Guevara, de la malédiction de Toutânkhamon aux assassinats de JFK et Martin Luther King, des folies de Néron à celles (supposées) de Marie-Antoinette, des Templiers aux francs-maçons et au Ku Klux Klan, des crânes de cristal de l'Atlantide à Nostradamus et aux prophéties de saint Malachie, de la légende dorée de Galilée à la légende noire de Lucrèce Borgia, du mythe de la papesse Jeanne à la fable de l'évasion de Louis XVII, des idées fausses colportées sur les sorcières médiévales à la réputation sulfureuse de Nietzsche, des Protocoles de Sages de Sion à la manipulation de Carpentras, l’historien Paul-Éric Blanrue bouscule les idées toutes faites et brise les tabous.

En45 chapitres et trois annexes, ce Livre noir deplus de 430 pagesnous présente un panorama de l’histoire mondiale enfin épurée de ses fables convenues, des mensonges officiels, des manipulations de toutes sortes que des truqueurs lui font subir. Fruit de30 ans d’études, cet ouvrage offre au lecteurle meilleur de l’oeuvre démystificatrice de Paul-Éric Blanrue.

Dans son introduction, l’auteur déclare. « D’expérience, je ne crois pas que notre époque soit disposée à entendre tout ce que je dévoile dans ces pages. » Une bonne raison pour nous plonger dans cette chasse à l’imposture, qui ne laissera personne indifférent !

Un livre que tout honnête homme se doit de posséder dans sa bibliothèque.


« Défendre le point de vue de Blanrue
aujourd’hui c’est exactement courageux dans cette ambiance de merde. »
Étienne Chouard

« Ton travail pose un sérieux problème aux censeurs ! »
Jean Bricmont

« Blanrue est plus chomskyen que Chomsky »
Élisabeth Roudinesco

« Blanrue a écrit un livre épouvantable. »
Florian Philippot

Spécialiste de la détection des mystifications, l'historien et essayiste Paul-Éric Blanrue a pour objectif de participer à la formation d’une capacité d’appropriation critique du savoir humain. Auteur d’une vingtaine de livres et de plusieurs documentaires filmés ayant souvent suscité la polémique, il se situe dans une tradition historico-critique qui se réclame de la pensée de Voltaire.

Sortie le 12 juillet prochain !

EN PRÉCOMMANDE À CETTE ADRESSE :

À noter que contrairement à ce qu'affirme Wikipédia, Paul-Éric Blanrue n'est pas un nom de convenance, mais bel et bien le prénom composé et le nom de l'intéressé tels qu'ils apparaissent dans sa fiche d'état civil (on a compté jusqu'à 17 erreurs factuelles dans la page que lui consacre cette "encyclopédie libre" qui ressemble davantage à une fiche de police politique qu'à une notice biographique digne de ce nom).

"Paul Blanrue, dit Paul-Éric Blanrue". Wikipédia, l'encyclopédie virtuelle bidon

Né le 18 avril 1967 à Metz (Moselle, France), l'historien et essayiste Paul-Éric Blanrue est spécialisé dans la détection des mystifications. Son objectif est de participer à la formation d'une capacité d'appropriation critique du savoir humain.

Son mémoire de maîtrise d’histoire est consacré au Père Bole, le confesseur du comte de Chambord, Henri V, dont il a exhumé la correspondance aux archives des jésuites de Vanves. Ce travail fait l'objet de son premier livre, préfacé par le baron Hervé Pinoteau, vice-président de l'Académie internationale d'héraldique.

Son service militaire est accompli en 1990-1991 à l'État-major de la Force aérienne tactique (FATAC).

Après 10 ans d'expériences politiques qui l'ont conduit à devenir le plus jeune membre du Secrétariat du Prince Alphonse, Chef de la Maison de Bourbon et aîné des Capétiens, un poste lui ayant permis de démystifier abondamment la Révolution française et d’enquêter sur la mort de Louis XVII, Paul-Éric Blanrue fonde en 1993 le Cercle zététique, association sceptique à but non lucratif se proposant « d'enquêter avec méthode sur tous les sujets relevant de l'extraordinaire tant en science qu'en histoire ». Il en est le président durant dix ans, jusqu’en 2004. ll est aussi, jusqu'à cette date, le directeur de publication des Cahiers zététiques. puis d'Enquêtes Z.

Durant deux ans, il gère le Prix Défi zététique international lancé par le Pr. Henri Broch, l’illusionniste Gérard Majax et Jacques L. Theodor, qui se présente comme un appel à preuve pour les détenteurs de « pouvoirs psi ».

Le 11 août 1999, il organise à Paris un « Apéro des survivants », rassemblant quelque 500 personnes et des journalistes du monde entier, destiné à se moquer des prédictions du couturier Paco Rabanne, qui a annoncé pour cette date la chute de la station Mir sur la capitale française.

En 2004, il dévoile les « trucs » de l'illusionniste canadien Gary Kurtz, dont les émissions laissent croire au public qu’il possède des dons paranormaux.

L’affaire du Suaire de Turin

En 2005, au Muséum d’histoire naturelle de Paris et sous l’égide du mensuel Science&Vie. Paul-Éric réalise une réplique exacte de la tête de « l’homme du Suaire de Turin », auquel il a consacré deux livres d’enquête, avec pour seuls moyens ceux de l'époque médiévale, démontrant que la relique n’est pas d’origine miraculeuse.

Deux éminents spécialistes de la démystification ont rejoint ses conclusions. le professeur Henri Broch, professeur de physique à l'Université de Nice, membre de l'Académie des Sciences de New York et Gérald Messadié, auteur du best-seller L'Homme qui devint Dieu ( Robert Laffont, 1988), ancien rédacteur en chef du mensuel scientifique Science&Vie. Broch écrit que Blanrue « fait le tour de la question ». Gérald Messadié, dans "Le suaire de Turin et autres reliques", Réalités et mystifications du paranormal. L'Archipel, février 2015, écrit. « L'historique des divers linges ayant prétendument enveloppé le corps de Jésus a été minutieusement établi par l'historien Paul-Éric Blanrue. Comme le révèle Blanrue, on ne trouve pas sur cette image les nuances ordinaires. La conclusion est que le paranormal est intégralement absent du Suaire de Turin. on ne le trouve que dans l'esprit de ceux qui s'obstinent à y croire. Le dossier technique étant considérablement plus détaillé et complexe, nous renverrons le lecteur aux deux ouvrages de Paul-Éric Blanrue, Miracle ou imposture. etc. »

Le Monde du 4 juin 2005 a titré, dans sa rubrique Sciences. « La recette du suaire de Turin livrée par les zététiciens. » Un article d’Hervé Morin y décrivait la « cérémonie iconoclaste » qui s’était déroulée trois jours plus tôt au Muséum national d’histoire naturelle et au cours de laquelle le secret de fabrication d’un suaire identique à celui de Turin était explicité. « Une recette à la portée “d’une ménagère de moins de 50 ans.”, mais aussi “d’un faussaire du Moyen Age”. Prenez un bas-relief en plâtre, que vous recouvrez d’une étoffe de lin humide pour épouser les contours du visage. Tamponnez le tout avec un mélange d’oxyde ferrique et de gélatine, des produits connus des peintres médiévaux – et dont la trace a été retrouvée sur le suaire. Ajoutez quelques coulures vermillons pour figurer le sang. Laissez sécher. Déployez. Faites adorer. »

Un dossier de 14 pages établi par Isabelle Bourdial a repris les conclusions de Blanrue, avec son concours (Science&Vie. n°1054, juillet 2005), ainsi que le magazine Historia (n°718, octobre 2006) qui a demandé à Blanrue de rédiger un long article sur le sujet.

Le journal de 13 heures de France 2 du 22 juin 2005 a consacré un reportage à l’expértience de Blanrue ; le 25 juin, le journal de 13h de TF1 interviewe Blanrue en train de façonner des faux suaires. Le 11 mars 2007, Blanrue est invité dans l'émission La foi prise au mot. sur la chaîne catholique KTO (52 mn), pour livrer le fruit de ses recherches. Paul Wermus l'invite sur France 3 pour débattre face à Daniel Raffard de Brienne, président du Centre international d'études sur le Linceul de Turin. Le 4 octobre 2006, Blanrue est également invité par Stéphane Bern à participer à l'émission L'Arène de France (France 2) pour évoquer son dernier ouvrage portant sur le Suaire.

Durant sa présidence du CZ, Paul-Éric visite plus de quarante lieux réputés « hantés », dont il fournit l’explication naturelle, y compris sous l’œil des caméras (D'un monde à l'autre de Paul Amar).

Lorsqu’il quitte le CZ, Paul-Éric déclare vouloir s’attaquer à des mythes et légendes plus en rapport avec notre époque, comme il l'avait fait dans son Bulletin lorrain d'information légitimiste à l'occasion du Millénaire capétien (1987).

Il dévoile les dessous du Prix Goncourt de Jonathan Littell, Les Bienveillantes ; pointe, avec l’ancien rédacteur en chef adjoint à Paris-Match. Chris Laffaille, le brusque changement de régime politique que provoque le mariage entre Nicolas Sarkozy et la jet-setteuse Carla Bruni (avec 25 000 exemplaires vendus, leur livre est durant quinze jours dans la liste de best-sellers de L'Express ) ; les deux investigateurs démontrent également les raisons pour lesquelles le trader Jérôme Kerviel n’est que l'un des symptômes du capitalisme financier, annonçant la crise des subprimes six mois avant qu’elle ne se produise (On n'a pas tout dit de Laurent Ruquier).

Le livre Le Monde contre soi - Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme (éditions Blanche, Paris, 2007, préface de Yann Moix) met en perspective les déclarations jugées antisémites de plus de 500 célébrités. Cet ouvrage a eu l'étrange pouvoir de lui décrocher une invitation au salon des écrivains du B'nai B'rith et de valoir à l'un de ses éditeurs amateurs un procès sur plainte de la Licra qui fut déboutée en appel.

L’affaire Sarkozy, Israël et les juifs

Deux ans plus tard, Sarkozy, Israël et les Juifs (Oser dire, 2009), qui se présente comme le pendant français de l’ouvrage Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine de Mearsheimer et Walt, a pour objectif de participer à la prise de conscience du danger que représente la nouvelle politique étrangère française à l'égard d'Israël.

Tous les éditeurs français auquel le projet est soumis refusent l’ouvrage. Paul-Éric trouve alors éditeur en Belgique, en la personne de Marco Pietteur. Toutefois le diffuseur en France de celui-ci refuse de placer l’ouvrage en librairies. Son avocat dénonce une « censure par le vide ». Le livre est diffusé en France pendant six mois par correspondance jusqu'à ce qu’il finisse par trouver un diffuseur et soit mis en vente normalement. Le livre se vend à plus de 20 000 exemplaires et bénéficie à ce jour de trois éditions corrigées et augmentées.

Alain Gresh fait une recension de l'ouvrage dans le blog du Monde diplomatique dont la conclusion est. « Un livre qui mérite le débat, et non un interdit de fait ». L'opus reçoit le soutien de nombreux enquêteurs indépendants, comme les journalistes Michel Collon ou Jean-Guy Allard, chroniqueur au quotidien cubain Granma. « Ce livre devrait être diffusé, non seulement par les amis de la Palestine, mais par tous les amis d'une France indépendante et souveraine », écrit le Pr. Jean Bricmont, physicien et essayiste. Pour Roger Briottet, ancien universitaire, consultant juridique aux Nations unies et pour l'Union européenne. « Blanrue dit avec clarté et preuves à l'appui ce qu'on a trop souvent tendance à cacher sur les relations entre la France et l'État d'Israël ». Pour le journaliste belge Olivier Mukuna. « Ce livre brillant et mesuré récuse l'assimilation fallacieuse entre judaïsme et sionisme. » Pour le réalisateur Frank Barat, il s'agit d'un livre « très intéressant, instructif, accablant et quelque peu visionnaire. En un mot. important. »

Aucun grand média français n’en fait toutefois mention, à l’inverse de la presse arabo-musulmane, qui interviewe l’auteur sans préjugé. Le vendredi 19 février 2010, la chaîne Al Jazeera consacre un grand débat d'une heure à la question « Le lobby juif en France. entre réalité et fiction », s'appuyant sur un entretien antérieur avec Paul-Éric.

Ce livre est traduit en arabe et en persan.

L’affaire de la pétition contre la loi Gayssot

Le 6 août 2010, il lance une pétition en ligne contre la loi Gayssot. à laquelle il joint comme revendication la libération du révisionniste Vincent Reynouard, condamné à un an de prison ferme et incarcéré à la maison d’arrêt de Valenciennes pour avoir écrit une brochure illégale de 16 pages.

Cette pétition reçoit notamment le soutien du professeur Jean Bricmont, physicien à l’université de Louvain et essayiste belge, de Normand Baillargeon, professeur en sciences de l'éducation à l'Université du Québec à Montréal, de Robert Ménard, président de Reporter sans frontières, de Dominique Jamet. journaliste, écrivain, ancien président de la Bibliothèque de France, de Max Cabantous. maître de conférences honoraire à l’université de Montpellier III, de Marc Rousset. Prix de l’Académie des sciences morales et politiques, de Jean-Claude Manifacier. professeur, Université des Sciences de Montpellier, de Jean Desclin. professeur honoraire à la Faculté de Médecine de l’Université Libre de Bruxelles, de Pietro Corvaja. mathématicien, professeur à l’Université de Udine, et encore de Steve Wozniak, mythique cofondateur d’Apple avec Steve Jobs .

Le 5 septembre 2010, l'intellectuel américain Noam Chomsky soutient sa pétition en ces termes. « J'apprends que Vincent Reynouard a été condamné et mis en prison au nom de la loi Gayssot et qu'une pétition circule pour protester contre ces mesures. Je ne connais rien à propos de Monsieur Reynouard, mais je considère la loi Gayssot comme complètement illégitime et en contradiction avec les principes d'une société libre, tels qu'ils ont été compris depuis les Lumières. Cette loi a pour effet d'accorder à l'État le droit de déterminer la vérité historique et de punir ceux qui s'écartent de ses décrets, ce qui est un principe qui nous rappelle les jours les plus sombres du stalinisme et du nazisme. (…) Par conséquent, je souhaite exprimer mon soutien à la pétition contre l'application de cette loi dans le cas de Monsieur Reynouard (ou dans tout autre cas). »

En 2011 est diffusé sur internet, sous licence giveaway (libre de droit), un documentaire d'1h30 consacré au Pr. Faurisson, intitulé. Un homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue. Ce film, s’incrivant dans la lignée des Archives du XXe siècle de l’INA, lui vaut un procès de la Licra, qu'il gagne en septembre 2015 (annulation de la procédure). Le parquet ayant fait appel, la Cour a confirmé, le 19 mai 2016, le jugement de première instance, annulant citations et poursuites.

En octobre 2014, Blanrue publie un livre dans lequel il montre les liens existant entre le Front national et les milieux sionistes (Jean-Marie, Marine et les juifs. Oser dire, 2014).

En septembre 2015, il écrit la préface du livre de Salim Laïbi, Le Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral. Fiat Lux, où il explique pourquoi il est un penseur libre et n'a jamais été le moins du monde « soralien ».

Un mois plus tard, il sort la première saison de la série Apocalypse France, intitulée La France maçonnique ( vente en streaming sur Viméo et en DVD ), avec la participation de Emmanuel Ratier, Jean-Yves Le Gallou, Jean Solis, Jean-Pierre Servel, Dieudonné, Stéphane Blet, Pierre Hillard.

Depuis près de trente ans, Paul-Éric écrit dans de nombreuses revues, historiques ou non, françaises et étrangères, de tous bords politiques. Il a donné des articles au Nouvel Observateur. à Point de Vue. au Crapouillot. à Rivarol. à Charlie Hebdo. à L’Homme libre. à la Feuille d’information légitimiste. à Bourbons magazine. à la revue littéraire Bordel (Flammarion), à La Vérité. etc.

De 2003 à 2013, il a été un collaborateur régulier (une quarantaine d’articles) du mensuel Historia . le plus ancien (fondé en 1909) et le plus lu des magazines d'histoire dans le monde.

Il a été consultant et scénariste pour diverses sociétés et maisons de production, comme Pathé. Comme il ne se prend pas au sérieux, il a fait, à la demande du réalisateur, un caméo déguisé en sosie d'Elvis Presley dans le film Podium de Yann Moix (2003).

Il est remercié dans de nombreux livres dudit Yann Moix et se trouve aussi être l’un des héros du roman Pas du tout. Je t’aime, Éditions 1 - La Marge Editions (2002). de Catherine Siguret. Divers auteurs ont conté ses aventures, comme Jérôme Noirez, Encyclopédie des fantômes et des fantasmes (Éditions de l’Oxymore, 2005).

La télévision a souvent eu recours à ses services. L'ont invité. Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, On ne peut pas plaire à tout le monde de Marc-Olivier Fogiel, Comme un lundi et Ciel mon mardi de Christophe Dechavanne, J’y crois, j’y crois pas de Tina Kieffer, Cactus and Co et Piques et polémiques de Paul Wermus, C'est l'heure de Jean-Luc Delarue, Pourquoi. Comment ? de Sylvain Augier, la série Les grandes arnaques pour la télévision québécoise, le documentaire Capricorne ascendant sceptique pour la chaîne Planète, L'Arène de France et Secrets d'Histoire de Stéphane Bern, La foi prise au mot sur la chaîne catholique KTO, C dans l’air de Yves Calvi, etc.

En 1999, Charlie Hebdo l'a décrit comme«président d'unjoyeux groupe de scientifiques, d'illusionnistes et d'historiens qui ridiculise les voyants de tout poil». La psychanalyste Élisabeth Roudinesco l'a défini comme«plus chomskyen que Chomsky». L'historienne Valérie Igounet l'a qualifié d'«idéologue de la nouvelle vague». Le critique littéraire Arnaud Viviant a salué un de ses ouvrages comme«nécessaire» tandis qu'Éric Naulleau le considère comme«impressionnant dans la folie totale».Le journaliste Laurent Telo, dans Le Monde. l'a déclaré«censuré à perpétuité». Le pamphlétaire Marc-Édouard Nabe l'a traité d'«ourang-outan»et de«gros pédé». Florian Philippot a déclaré chez Laurent Ruquier qu'un de ses livres était«épouvantable». Lephysicien Jean Bricmont a remarqué que son travail posait un«sérieux problème aux censeurs». L'économiste Étienne Chouard a noté que«défendre le point de vue de Blanrue aujourd'hui c'est exactement courageux dans cette ambiance de merde».

Comme complices en pensée. Blanrue cite pêle-mêle Voltaire, Arthur Schopenhauer, Friedrich Nietzsche, Vilfredo Pareto, Julius Evola, Charles Maurras, Martin Heidegger, Ludwig von Mises et Murray Rothbard. Il s'intéresse au soufisme, à la mystique rhénane, au Tao, aux Upanishad, au bouddhisme mahāyāna et aux sociétés traditionnelles.
Son casier judiciaire est vierge.
Paul-Éric Blanrue partage sa vie entre Paris, la Côte d'Azur et Venise.

L'esprit libre

"Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées."

(Friedrich Nietzsche, lettre à Malwida von Meysenbug, 25 octobre 1874)

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Messages les plus consultés

Un démystificateur, spécialiste de la contre-histoire

Né le 18 avril 1967 à Metz (Moselle), l'historien Paul-Éric Blanrue est spécialisé dans la détection des mystifications. Son objectif est de participer à la formation d'une capacité d'appropriation critique du savoir humain. Sa devise. " Remettre l'Histoire à l'endroit ". Comme il évolue souvent à contre-courant des croyances dominantes, il se laisse volontiers définir comme " contre-historien " ou " historien critique ".

À noter. Contrairement à ce que disent les censeurs et autres faussaires de Wikipédia, Paul-Éric Blanrue n'est pas un "nom de convenance", mais bel et bien le prénom composé et le nom de naissance de l'intéressé tels qu'ils apparaissent dans sa fiche d'état civil (on a compté jusqu'à 17 erreurs factuelles, au bas mot, dans la page que lui consacre cette "encyclopédie libre" qui ressemble davantage à une fiche de police politique qu'à une notice biographique digne de ce nom.)

Après 10 ans d'expériences politiques l'ayant conduit à devenir le plus jeune membre du Secrétariat du Prince Alphonse, Chef de la Maison de Bourbon et aîné des Capétiens, Paul-Éric Blanrue fonde en 1993 le Cercle zététique (CZ), association sceptique à but non lucratif se proposant « d'enquêter avec méthode sur tous les sujets relevant de l'extraordinaire tant en science qu'en histoire ». Il en est le président jusqu’en 2004. ll est aussi, jusqu'à cette date, le directeur de publication des Cahiers zététiques. puis d' Enquêtes Z.

Durant deux ans, il gère le « Prix Défi zététique international » lancé par le Pr. Henri Broch, l’illusionniste Gérard Majax et Jacques L. Theodor, qui se présente comme un appel à preuve pour les détenteurs de « pouvoirs psi ».

Le 11 août 1999, il organise à Paris un "apéro des survivants ", rassemblant quelque 500 personnes, destiné à se moquer des prédictions du couturier Paco Rabanne, qui a annoncé pour cette date la chute de la station Mir sur la capitale française.

En 2004, il dévoile certains des « trucs » de l'illusionniste canadien Gary Kurtz, dont les émissions laissent croire au public qu’il possède des dons paranormaux.

En 2005, au Muséum d’histoire naturelle de Paris et sous l’égide du mensuel Science & Vie. Paul-Éric réalise une réplique exacte de la tête de « l’homme du Suaire de Turin » (auquel il a consacré deux livres d’enquête), avec pour seuls moyens ceux de l'époque médiévale, démontrant ainsi que la relique n’est pas d’origine miraculeuse.

Durant sa présidence du CZ, il visite plus de 40 lieux réputés « hantés », dont il fournit l’explication rationnelle, y compris sous l’œil des caméras ( D'un monde à l'autre de Paul Amar).

Lorsqu’il quitte le CZ, Paul-Éric déclare vouloir s’attaquer à des mythes et légendes plus en rapport avec l'époque.

Il dévoile alors les dessous du Prix Goncourt de Jonathan Littell, Les Bienveillantes ; pointe, avec l’ancien rédacteur en chef adjoint à Paris-Match. Chris Laffaille, le brusque changement de régime politique que provoque le mariage entre Nicolas Sarkozy et la jet-setteuse Carla Bruni ; les deux investigateurs démontrent également les raisons pour lesquelles le trader Jérôme Kerviel n’est que l'un des symptômes du capitalisme financier, annonçant la crise des subprimes six mois avant qu’elle ne se produise ( On n'a pas tout dit de Laurent Ruquier).

Le livre Le Monde contre soi - Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme (éditions Blanche, Paris, 2007) met en perspective les déclarations jugées « antisémites » de plus de 500 célébrités.

Deux ans plus tard, Sarkozy, Israël et les Juifs (Oser dire, 2009), qui se présente comme le pendant français de l’ouvrage Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine de Mearsheimer et Walt. a pour objectif de participer à la prise de conscience du danger que représente la nouvelle politique étrangère française à l'égard d'Israël.

Mais tous les éditeurs français auquel le projet est soumis refusent l’ouvrage. Paul-Éric trouve alors éditeur en Belgique, en la personne de Marco Pietteur. Toutefois le diffuseur en France de celui-ci refuse de placer l’ouvrage en librairies. Son avocat dénonce une « censure par le vide ». Le livre est diffusé en France pendant six mois par correspondance jusqu'à ce qu’il finisse par trouver un diffuseur et soit mis en vente normalement. Le livre se vend à 20 000 exemplaires et bénéficie à ce jour de trois éditions corrigées et augmentées.

Alain Gresh fait une recension de l'ouvrage dans le blog du Monde diplomatique dont la conclusion est. « Un livre qui mérite le débat, et non un interdit de fait ». L' opus reçoit le soutien de nombreux enquêteurs indépendants, comme les journalistes Michel Collon ou Jean-Guy Allard, chroniqueur au quotidien Granma. « Ce livre devrait être diffusé, non seulement par les amis de la Palestine, mais par tous les amis d'une France indépendante et souveraine », écrit le Pr. Jean Bricmont, physicien et essayiste. Pour Roger Briottet, ancien universitaire, consultant juridique aux Nations Unies et pour l'Union européenne. « Blanrue dit avec clarté et preuves à l'appui ce qu'on a trop souvent tendance à cacher sur les relations entre la France et l'État d'Israël ». Pour le journaliste Olivier Mukuna. « Ce livre brillant et mesuré récuse l'assimilation fallacieuse entre judaïsme et sionisme. » Pour le réalisateur Frank Barat, il s'agit d'un livre « t rès intéressant, instructif, accablant et quelque peu visionnaire. En un mot. important. »

Aucun grand média français n’en fait toutefois mention, à l’inverse de la presse arabo-musulmane, qui interviewe l’auteur sans préjugé. Le vendredi 19 février 2010, la chaîne Al Jazeera consacre un grand débat d'une heure à la question « Le lobby juif en France. entre réalité et fiction », s'appuyant sur un entretien antérieur avec Paul-Éric.

Le 6 août 2010, Paul-Éric Blanrue lance une pétition contre la loi Gayssot. à laquelle il joint comme revendication la libération du révisionniste Vincent Reynouard, condamné à un an de prison ferme et incarcéré à la maison d’arrêt de Valenciennes pour avoir écrit une brochure illégale de 16 pages.

Le 5 septembre 2010, l'intellectuel américain Noam Chomsky soutient sa pétition en ces termes. « J'apprends que Vincent Reynouard a été condamné et mis en prison au nom de la loi Gayssot et qu'une pétition circule pour protester contre ces mesures. Je ne connais rien à propos de Monsieur Reynouard, mais je considère la loi Gayssot comme complètement illégitime et en contradiction avec les principes d'une société libre, tels qu'ils ont été compris depuis les Lumières. Cette loi a pour effet d'accorder à l'État le droit de déterminer la vérité historique et de punir ceux qui s'écartent de ses décrets, ce qui est un principe qui nous rappelle les jours les plus sombres du stalinisme et du nazisme. (…) Par conséquent, je souhaite exprimer mon soutien à la pétition contre l'application de cette loi dans le cas de Monsieur Reynouard (ou dans tout autre cas). »

En 2011 est diffusé sur internet, sous licence giveaway (libre de droit), un documentaire d'1h30 consacré au Pr. Faurisson, intitulé. "Un homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue". Un film qui lui vaut un procès de la Licra, qu'il gagne en septembre 2015 (annulation de la procédure). Le parquet ayant fait appel, la Cour a confirmé, le 19 mai 2016, le jugement de première instance, annulant citations et poursuites.

En octobre 2014, Blanrue publie un nouveau livre dans lequel il montre les liens existant entre le Front national et les milieux sionistes (Jean-Marie, Marine et les juifs. Oser dire, 2014).

En septembre 2015, il écrit la préface du livre de Salim Laïbi, Le Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral. Fiat Lux, où il explique pourquoi il n'a jamais été soralien.

Un mois plus tard, il sort la première saison de la série "Apocalypse France", intitulée "La France maçonnique" (vente en streaming sur Viméo et en DVD). Avec Emmanuel Ratier, Jean-Yves Le Gallou, Jean Solis, Jean-Pierre Servel, Dieudonné, Stéphane Blet, Pierre Hillard.

Depuis près de trente ans, Paul-Éric écrit dans de nombreuses revues, historiques ou non, françaises et étrangères. De 2003 à 2013, il fut un collaborateur régulier du mensuel Historia . le plus ancien (1909) et le plus lu des magazines d'Histoire dans le monde. Il est aussi consultant et scénariste pour diverses sociétés et maisons de production, comme Pathé. En 2014, il se lance dans la production audiovisuelle en créant Topdoc.

La télévision a souvent eu recours à ses services. L'ont invité : Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, On ne peut pas plaire à tout le monde de Marc-Olivier Fogiel, Comme un lundi et Ciel mon mardi de Christophe Dechavanne, J’y crois, j’y crois pas de Tina Kieffer, Cactus and Co et Piques et polémiques de Paul Wermus, C'est l'heure de Jean-Luc Delarue, Pourquoi. Comment ? de Sylvain Augier, la série Les grandes arnaques pour la télévision québécoise, le documentaire Capricorne ascendant sceptique. pour la chaîne Planète, L'Arène de France et Secrets d'Histoire de Stéphane Bern, La foi prise au mot sur la chaîne catholique KTO, etc.

Comme "complices en pensée", il cite pêle-mêle Voltaire, Arthur Schopenhauer, Friedrich Nietzsche, René Guénon, Julius Evola, Charles Maurras et Martin Heidegger.

Paul-Éric partage sa vie entre Paris et Venise, d'où le parfum vénitien de ce blog.

* Lumières sur le comte de Chambord - Le témoignage inédit du Père Bole, confesseur du Prince en exil (avec une préface de Hervé Pinoteau), éditions Communication et Tradition, Paris, 1995, 247 p. (ISBN 2-911029-00-3) ;

* Le « Mystère du Temple » - La vraie mort de Louis XVII. éditions Claire Vigne, coll. « Aux sources de l'Histoire », Paris, 1996, 364 p. (ISBN 2-84193-028-9) ;

* Miracle ou imposture. L'histoire interdite du « suaire » de Turin. co-édition EPO (Bruxelles) et Golias (Lyon), 1999, 271 p. + 8 p. de planches illustrées, (ISBN 2-87262-152-0) (EPO) et (ISBN 2-911453-53-0) (Golias) ;

* Le Livre noir des manipulations historiques. Fiat Lux, 2017.

Préfacier et éditeur scientifique

* Souvenirs de Marie-Thérèse de France, duchesse d'Angoulême. 5 octobre 1789-8 juin 1795 (établissement du texte, préface et notes de Paul-Éric Blanrue), éditions Communication et Tradition, coll. « Archives des Bourbons » n°6, Paris, 1997, 120 p. (ISBN 2-911029-11-9) ;

* Salim Laïbi, Le Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral. Fiat Lux, 2015 ;

* Chris Laffaille (en collaboration avec Paul-Éric Blanrue), Diana. l'enquête jamais publiée. éditions Scali, Paris, 2007, 274 p. (ISBN 978-2-35012-163-5) ;

* Chris Laffaille (en collaboration avec Paul-Éric Blanrue), Aux Portes de l'enfer - L'inavouable vérité sur le juge Borrel. éditions Scali, Paris, 2008, 334 p. (ISBN 978-2-35012-203-8) ;

* Minko Balkanski, Sofia-Paris, un aller simple (avec la collaboration de Paul-Éric Blanrue, un avant-propos de Julu Jelev et une préface de Dimitri Panitza), éditions Scali, Paris, 2007, 223 p. (ISBN 978-2-35012-121-5) ;